LIBRE MALGRE TOUT

Laurène fesait toujours le tour des champs et c’était surtout pour visiter le rosier, l’arbre qu’elle avait planté lors de son enfance et qui est devenue son meilleur ami.

Un jour assise auprès de son ami, elle s’aperceva un peu tard du fait qu’elle s’était endormi et qu’un chevalier était en train de l’admirer lors de son sommeil. Elle se leva choquée et honteuse à la fois assuré malgré qu ’elle ne le connait auparavant.

Oh ! Chère Dame, Excusez-moi je ne vous voulais guère de mal,je passais par là lorsque je me suis rendu compte de votre présence. Une présence que je ne pouvais ignorer : vous étiiez une reine de bauté entourée par ses fidèles les roses, votre charme m’enchaina et je ne pouvais m’en aller. Accordez-moi votre pardon !

Elle devint toute rouge devant ses paroles et elle ne savait qoui dire alors il répéta la demande :

- Accordez-moi votre pardon !

Elle répondat alors que oui tout en essayant de s’enfuir, le panier de rose à la main, mais il l’attrappa par le bras et voulut connaitre son nom, preuve de son pardon.

- « Laurène » disait-elle en lui offrant d’une main tremblante l’une des roses et elle s’en alla. Toute la nuit elle pend*sait à cette rencontre, elle découvrit qu’elle aussi  était séduite par ce chevalier de Tenue élégante et attirante tout comme son physique de combat et ses yeux qui révélent la bonté et le courage et .Le lendemain elle retourna auprès de son rosier pour lui faire ces confidences :

- Chère et unique ami, c’est la plus sérieuse et importante confidence, celle que je dois te reveler aujourd’hui : j’ai eu le coup de foudre pour le chevalier d’hier : je suis amoureuse d’un homme dont j’ignore le nom et que je ne reverrais plus.

- Il s’appelle «  chris » et le voici encore pour votre rencontre.

Eh ! Oui il l’a surprise encore mais cette fois en affirmant son amour pour lui qui exprima les même sentiments et c’est à partir de cet instant là que le rosier devint témoin des rencontres d’amoureux. Mias le bonheurdésormais n’est pas éternel : «  Sir Justin » le des champs du village demanda sa main offrant à son père une grande somme d’argent et un énorme champ. Son père,le petit paysan, n’avait qu’a accepter, alors elle décida tout avouer :

- Père je ne veux pas me marier avec «  Sir Justin ».

- Pourquoi donc ?

- J’aime un autre.

- Cet autre est-il plus riche ?

- N...non.

- Donc tu te marieras avec «  Sir Justin ».

- Mais je ne veux pas.

- Tu n’a guère droit de décider c’est moi qui le fait.

Puis tu ne sortira plus jamais de ta chambre jusqu’au mariage. File toi de ma vue !

Ne plus voir «  Chris » pour se marier avec un autre ? Elle ne peut l’accepter elle doit tout faire pour son amour ; essayer de convaincre son père ; cela serait en vain : la seule solution valable c’est fuire. Soudain elle entenda des cris : il y a du feu dans une maison voisine tout le monde y est occupé c’est le moment ou jamais de s’enfiur et courir dans les bras de « Chris » son unique amour.

Lorsqu’elle arriva auprès du Rosier chris comme d’habitude entrain de l’attendre mais cette fois avec un regard surpris de son état et du sac de ses vêtements qu’elle avait ; elle lui raconta tout y compris sa décision, il la prévint du fait qu’elle perd ainsi tous ses paroles et le bonheur peut partager avec eux mais elle lui a dit que lui et lui seul sera son unique bonheur et cause de vie.

Ils se sont enfuis et mariés en présence de deux fidèles amis à «  Chris » mais toujours rechrchés par les hommes de « Sir Justin » et le père de Laurène question de vengence pour l’honneur perdu. Ils étaient obligés de s’isoler dans une grotte au milieu des forêts . Deux ans sur cet état; ils recevraient la visite l’Adolphe et Filippe les amis de « Chris ». Et c’est aussi en ces deux ans qu’ils ont eu le ruit de leur amour une jolie petite fille qu’ils nommèrent «  Rose » en mémoire de leur rencontre.

Le grand jour pour « Sir Justin » vint : on a trouvé «  Chris » et « Laurène » ; on les attaqua soudainement au moment où ils étaient en train de jouer avec l’eau de leur lac préféré et qui jouaient le même rôle du Rosier dont ils étaient privés ; « Chris » courut vers son sabre mais il était tard :

Il mourut. Laurène devint furieuse criant comme une lionne et porta le sabre de « Chris ». Son père auprès de « Sir Justin » et ses hommes disa :

- Cesse de pleurer pour un homme pareil; Sir Justin te pardonne et il t’emmenera avec lui.

Elle le fixa d’un regard de colère effrayant disant en sanglot :

- Jamais je ne pourrai croire qu’un père puisse vendre sa fille. Mais toi père tu la fais. Chhaque fille est libre de choisir l’homme de sa vie.

Vous vous croyez vainqueur en tuant Chiris , ma liberrté est très chère je ne l’abondonnerais jamais ( elle regade Chris) mon amour je t’ai juré que je ne serais à personne d’autre que toi à personne d’autre (elle se planta le sabre au ventre) je suis lib.....lib....re de choisi....r l’homme de ma vie..... toi.....Chris.... lib.....lib....libre.

Son âme flotta en ciel avec celui de Chris trouvant enfin la paie : une vie de liberté. Son père courut vers elle pleurant :

- Mon dieux qu’ai je fait

J’ai tué ma fille !

J’ai tué ma fille !

il devint fou et mourut quelques mois plus tard.

Les annés coulèrent, plus exactement quinze ans plus tard, on commença à parler du fantôme de Laurène qui venait pour se venger de tout ceux qui privent les femmes de choisir leur futur mari : un fantôme qui porta beaucoup de bonheur en plusieurs maisons et on découvra l’importance de cette liberté qui favorisa la réussite familiale. Le suel qui souffrait était « Sir Justin ». Chaque jour, l’un de ses champs brûlait et il recevait par la même occasion la visite du fantôme faché. Sa mort ne tarda pas et c »était lors de ses funérailles qu’on avait su que l’histoire du fontôme n’était qu’une comédie jouée par Rose, héritière du charme de sa mère et élevée par Adophe et Philippe qui l’ont aidé à réaliser le désir de vergence proféré par sa mère. Mais ce qui était plus important c’est que l’on a compris que chaque femme est libre de choisir l’homme de sa vie.

HAGGUI HAJER